17 mayo 2008

10 comentarios:

Pareidolia dijo...

Qui chant? je ne le connais pas. J'écoute maintenant Stanislas, ses chansons sont un peu bêtes, mais je crois que je l'écoute parce que l'amour est dans l'air...
Je t'embrasse

Anónimo dijo...

C'est Boris Vian, l'auteur de la chanson.
La version la plus connue est celle de Serge Reggiani

Pareidolia dijo...

Boris Vian? J'aime beaucoup cet écrivain. Maintenant j'entends parce que j'aimais cette chanson. Merci par l'information

huelladeperro dijo...

No, no canta Boris Vian. Este poema lo encontró su viuda entre sus papeles tras su muerte, y la música es de Serge Gainsbourg

Pareidolia dijo...

Dónde estás? y no me digas que estás buscando un hueso que enterraste u que no sabes dónde lo metiste...

Anónimo dijo...

a mi me encataria tocar el ukelele, el puro nombre ya me parece un juego cosquilloso. como te va perrito? como estas?

P (comme pour dire P, de petite sœur)

Denkersaugetier dijo...

qui eres tu? qui eres?

tu de l'albarçana!

Anónimo dijo...

Salut tout le monde!

Quand on regarde l'efficacité de la peine de mort, une question nous vient à l'esprit spontanément: en exécutant un coupable, la société ne se déchargerait-elle pas alors d'une grave responsabilité: celle de réaliser un régime pénitentiaire qui permette à un criminel de redevenir un homme?


Est ce le cas ?

Est ce le cas pour les victimes que ne sont plus que des SURVIVANTS ?



Comment au juste l'aide-t-elle à se réinsérer dans la société?

Rien de chez rien ni la société dont vous ou moi faisant actuelement quelque chose !!!!-



Face à l'horreur de certains crimes, la société prononce parfois un châtiment tout aussi irréversible quele crime commis et reproché à juste titre: la peine de mort.

Irréversible ni pour le mort ni pour le criminel mais oh conmbien réparatrice vis à vis des sentiments d'orreurs, de douleur de peine d'incompréhension... que la société et l'entourage de la victime vivent.
Cette peine justifié biensûr rétablie l'EQUILIBRE.
A défaut evidement d'une autre solition tout aussi efficace.


Cette sentence qui tombe comme un couperet, "la plus irréparable des irréparables!", comme l'a décrit Victor Hugo, a été prononcée une dernière fois au Canada en 1962. L'abolition de la peine capitale est votée en 1976.
Une question se pose encore: la société a-t-elle le droit et le devoir de condamner à mort ceux qui violent ses lois et qui portent atteinte à leur prochain?

Nous attendons tous de la société une protection, des solutions à nos douleurs la réparation des préjudices subit etc...Ce sont ce sont DEVOIR et OBLIGATION premier de tout faire que chacun vive son épanouissement personnel.
Dans les crimes crapuleux il n'y a pas de réponses adéquate en France ni ailleurs, je ne vois que la peine de mort à défaut.






Peut-on venger un crime UN MEURTRE illégal par un meurtre UNE PEINE légal?


Pendant des siècles, ces questions ont rencontré une réponse unanimement positive. Il a fallu les excès mêmes de cette justice immanente pour qu'apparaisse l'autre face de la question: la justice n'a-t-elle pas aussi comme rôle de donner une nouvelle chance réparatrice à ceux qui ont violé ses lois? La justice ne doit-elle pas devenir aussi éducatrice, c'est-à-dire également protectrice de ses citoyens coupables?

Byblos vous pensez que la société n'est composée que de criminel et de citoyens coupables.

Donc pour vous la justice n'est faite que pour eux ?

Dans ce cas pourquoi nous en discutons puisque cela ne nous regarde pas ?

Vous arrives t il d'appercevoir ceux qui subissent, ceux qui risquent ?

Ne croyez vous pas que le jugement s'adresse avant tout à eux et à la société ?

Et qu'elle est pour vous la solution qui fairait cohabiter le criminel et les autres en armonie ?

Pensez vous que nous vivons une justice au sens propre du terme ?

Allez vous répondre ou faire comme d'habitude éluder ?

huelladeperro dijo...

Saludos a tí, anónimo.

Déjà je t'informe que je ne suis pas byblos (je ne sais pas qui c'est) et donc nous ne nous connaissons pas. Et moi je ne pense pas que la société soit formée de criminels et de gens coupables. Non. Je pense que la société est formée de pauvres gens perdus qui ne comprennent pas ce qu'ils font ici bas...
No me interesa mucho el debate político sobre la pena de muerte y sospecho que te equivocas de foro y has venido a intentar convencer a convencidos. Yo por lo menos, y creo que mis lectores también, no apruebo que la sociedad en que vivo rehúse su responsabilidad ética hasta el punto de ejecutar al asesino (la politique de l'autruche).
Como individuo soy lo bastante débil como para cabrearme y matar a alguien si se me hinchan los huevos, (todavía no me ha sucedido) pero extender esa debilidad a la entidad holística "sociedad" y argumentar que tiene que defenderse de los monstruos etc. me avergonzaría. Me avergüenza de hecho cuando veo que otros lo hacen.
Una premisa que parece flotar sobre el debate político en torno a la pena de muerte es que desde un punto de vista absoluto de justicia puede ser justo o injusto cargarse a alguien que ha cometido un crimen. El mundo se dividiría pues en "hombres de bien" a los que la sociedad respeta y "criminales", a los que la sociedad se plantea si es lícito matar. El concepto de justicia. El concepto de justicia humano. Pero si has picado el enlace (coño, this video is no longer available), bueno, puedes picar el de Serge Reggiani del segundo coment, quizá observes que el contenido de este post va algo más lejos: Dios parece divertirse ajusticiando seres humanos, y parece hacerlo sin que haya paridad en la bondad o maldad del reo y la dureza del castigo...

Si tu has des difficultés pour comprendre l'espagnol fais-le-moi savoir et je m'adresserai a toi en français.

Huelladeperro

huelladeperro dijo...

Vaya, si que es available, que bien, me encanta la version de este Marion...

Bueno, ahí va el texto original de Boris Vian:

Notre père qui êtes aux cieux
Restez-y
Et nous, nous resterons sur la terre
Qui est, quelquefois, si jolie

Quand j'aurai du vent dans mon crâne
Quand j'aurai du vert sur mes osses
Peut-être qu'on croira que je ricane
Mais ça sera une impression fosse
Car il me manquera
Mon élément plastique
Plastique tique tique
Qu'auront bouffé les rats
Ma paire de bidules
Mes mollets mes rotules
Mes cuisses et mon cule
Sur quoi je m'asseyois
Mes cheveux mes fistules
Mes jolis yeux cérules
Mes couvre-mandibules
Dont je vous pourléchois
Mon nez considérable
Mon coeur mon foie mon râble
Tous ces riens admirables
Qui m'ont fait apprécier
Des ducs et des duchesses
Des papes des papesses
Des abbés des ânesses
Et des gens du métier
Et puis je n'aurai plus
Ce phosphore un peu mou
Cerveau qui me servit
A me prévoir sans vie
Les osses tout verts, le crâne venteux
Ah comme j'ai mal de devenir vieux...